Ce triptyque permet d'illustrer le processus artistique développé par SCOWCZA : le premier tableau, 100% numérique, représente la structure purement géométrique d'une arborescence végétale.
Ce second tableau met en évidence la dimension énergétique qu'apporte la couleur :
Enfin le troisième tableau est également construit sur la structure numérique, mais c'est le geste du peintre qui amène cette fois-ci la sensibilité :
"Le végétal a sa peau, et c'est son écorce, il a sa tête et sa chevelure, ce sont ses racines, il a sa physionomie et ses sens, il a sa sensibilité aussi, de telle sorte que, si on le blesse, il meurt."
D'après Paracelse
L'arrêt brutal de nos activités pendant le premier confinement nous a fait prendre conscience, si besoin en était, de la fragilité des sociétés humaines et de leurs constructions.
Cette série de sous-verres résulte d'une nécessité: celle d'exprimer le caractère cyclique de tels effondrements, pour n'y voir qu'un prélude à leur reconstruction.
Cocktail formé de l'implosion de structures que leur complexité a rendu trop fragiles, du déchirement d'affiches, symbolisant ces informations pléthoriques mais tellement fragmentées qu'il n'en reste que des lettres, qui parfois forment des mots, et de photos de chantiers qui expriment l'énergie nécessaire pour reconstruire sans cesse sans se décourager...
UN PETIT PLUS POUR NOS COLLECTIONNEURS : TOUS LES SOUS-VERRES DE LA SERIE "LES CYCLES DU CHAOS" SONT MAINTENANT VISIBLES EN REALITE AUGMENTEE !